Peter Walton
Monsieur Roux.
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 |  Sujet: Re: Le goût amer de la solitude.  Dim 17 Mai - 20:17 | |
| Elle avait fini par accepter l'inacceptable. Pour Peter, c'était une preuve que les paroles et les gestes qu'il avaient fait pendant cette soirée avait portés leurs fruits. Enfin ne vendons pas la peau de l'ours avant de l'avoir abattu ... C'était le soir, Mélinda ne semblait pas plus que ça dans son assiette, il pleuvait ... Ils ne se seraient jamais rencontrés si toutes ses conditions n'étaient pas reunises. C'est ce qu'on apelle un coup de pot. Sans plus attendre, le jeune homme attendait qu'elle ait fini de se préparer pour se diriger vers la porte. Aprés avoir poussée cette dernière, la pluie les mouillèrent à nouveau, lentement..
La pluie qui était tombée dans cette rue pendant ses deux heures s'écoulaient bruyamment dans les égouts. Les enseignes des différents commerces étaient etteintes maintenant ; ils ne leurs restaient plus que la lumière jaunâtre des lampadaires pour voir plus loin que leurs nez. En effet, cette nuit là, était une nuit assez sombre. Le roux se tournait vers la direction par laquelle ils étaient arrivés en lui demandant ;
" c'est par ici alors ? "
A moins que la jeune femme habite dans l'autre sens. Haha. Ne pouvant deviner s'il fallait prendre la gauche ou la droite, il se retournait vers elle pour qu'elle les guide. En sommes, elle guideraient la grande asperges rousse et lui se contenterait de la ramasser si malheur lui arrivait, une fois de plus.
Il avait beau pleuvoir, il ne faisait plus énormement froid, on pouvait même dire qu'il faisait lourd. Enfin, c'est ce que Peter se disait, y'avait il un orange dans l'heure en prime ? Il allait être saucé quand il devra retourner chez lui.
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Mélinda Weil
P'tit couteau suisse qui met la marmotte dans le papier alu
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| | Sujet: Re: Le goût amer de la solitude. Dim 17 Mai - 21:23 | |
| Bien que se lever se soit révelé plus facile qu'elle ne le pensait, marcher était déjà plus compliqué. Mélinda avançait presque à l'aveuglette, sa vue se brouillant à chaque pas qu'elle faisait. Heureusement, ils se trouvaient assez proches de la sortie et elle put sortir assez rapidement. Peut-être même trop car, quand elle se retrouva dehors, elle se sentit vaciller et dût se rattrapper contre l'encadrement de la porte. Pitoyable, pitoyable, pitoyable. Tiens, ça faisait longtemps. A vrai dire, ça ne lui avait pas vraiment manqué.
Il lui fallut quelques secondes pour qu'elle reprenne ses esprits. Peter ne disait rien, il devait l'observer en silence, se foutre de sa gueule mentalement. Il avait raison. Mais Mélinda préférait ne pas lever les yeux. Il pleuvait toujours, elle rajusta la veste du jeune homme sur ses épaules. Il était temps de reprendre ses esprits, d'avancer. Elle s'était assez ridiculisée comme ça, il fallait qu'elle se reprenne. L'air frais lui faisait du bien, maintenant qu'elle était réchauffée. Mais l'atmosphère était lourde, un orage approchait. Peter allait se faire rincer en rentrant, enfin, s'ils retrouvaient un jour l'appartement de Mélinda. Mais déjà un éclair zébra le ciel noir d'ébène, et le tonnerre gronda. Ils allaient se faire rincer tous les deux s'ils ne trouvaient pas rapidement un endroit où se mettre à l'abri.
Déjà, Peter lui demanda de quel côté se trouvait son appartement. Bon, elle n'avait pas le choix, pas le temps de tourner en rond pour trouver un élément familier. Il fallait renter, et vite. Réfléchis Mélinda, réfléchis.
- Peut-être. Oui. Je sais pas.
On ne pouvait pas rêver mieux, dans le genre de réponses totalement débiles et inutiles. La petite voix dans sa tête hurlait maintenant, elle ne chuchotait plus. Pitoyable, pitoyable, p... Ca va on a compris! Quand bien même elle retrouverait le chemin de son domicile, ils n'échapperaient pas à l'orage. Autant tenter le coup. Elle allait bien finir par s'en souvenir. D'ici-là, Peter serait déjà rentré chez lui tellement il en aurait eu marre. Mais qu'importe, elle se démerderait. Elle n'aurait pas le choix.
Elle choisit une direction au hasard - la droite - et se mit en route, décidée, sans un mot. Elle eut le temps de faire trois pas avant de se souvenir de son état. Elle se sentit faiblir, ses jambes lâchèrent. Elle perdit connaissance. Pitoyable.
[Mouahaha comme c'est trop nul xD]
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Peter Walton
Monsieur Roux.
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Date d'inscription : 03/05/2009
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| | Sujet: Re: Le goût amer de la solitude. Dim 17 Mai - 23:10 | |
| ( oh oui ! perd connaissance! soit mienne ! )
A peine avaient-il franchis la porte, que la brune montrait déjà des signes de faiblesse. Sans plus attendre, le roux se mettait à coté d'elle pour pouvoir la soutenir il elle vacillait de trop. La réponse qu'elle donnait à Peter n'était pas convaincante, pas du tout. Il était à ce demander si elle n'était pas par hasard SDF ôo". Il se tournait vers la direction qu'elle indiquait, regardant l'eau rendre flou le fond de la rue, ce qui donait un coté ... Sinistre.
" par ici ? allons-y "
Sauf que les choses se déroulait tout à fait différement de ce qu'il avait pu imaginer. Au même moment ou il raporta son attention vers elle ; elle tombait dans les vapes. Paniqué, Peter se baissa vers elle pour lui parler ; sans réponse. Sans plus attendre, l'homme la ramassait et se mit à marcher , en priant croisé un taxi pour aller seul dieu sait ou ...
( mon amie ... je fais le post chez moi HAHAH!! donc ce post est terminé ( ?)
https://urban-whirl.forumactif.org/appartement-de-peter-walton-mephisto-levis-f28/nuit-d-orage-t103.htm#2841 )
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