Par une belle journée d'été... Libre

Invité

C'était une belle journée. Il faisait beau, chaud mais pas trop (aux alentours de 27°C). L'été battait son plein et partout, les jeunes sortaient, riaient, vivaient leur vie... Mais pas ici. Cette rue, dans le quartier sud était d'un calme mortel. Aucune voiture ne passait, aucun rire ne retentissait. Il n'y avait personne. Mais les résidents étaient invisibles, trop riches pour se mêler à la populace. Ils s'étaient barricadés chez eux, leurs gosses jouaient calmement dans le jardin pendant que la femme prenait le thé avec ses "amies" et que le mari faisait une partie de golf sur son terrain personnel. La rue était bordées de belles villas de chaque côtés de la route. Au milieu de cette route, seule, marchait une jeune fille. Elle avait de longs cheveux bruns bouclés, de grands yeux bleu-vert mis en valeur par du maquillage et une peau parfaitement lisse, sans le moindre défaut. Elle portait une robe noir aux mille reflets, avec de fines bretelles et qui s'arrêtait dix centimètre au dessus de ses genoux. Aux pieds, elle avait de petites ballerines noires qui allaient avec sa tenue.

Mais que faisait une jeune fille pareille, seule, au beau milieu d'une rue vide ? C'est qu'elle venait juste d'arrivé en ville... Et qu'elle commençait son exploration. Elle classait les endroits qu'elle visitait dans trois catégories différentes : "A éviter", "A voir" et "Y revenir souvent". Alors, dans quelle catégorie avait-elle rangé cette rue ? Vous ne devinez pas ? Non ? Bon. Cette rue du quartier sud alla tout droit dans la classe "A éviter". Ce n'était vraiment pas un endroit pour une fille comme elle. Mais... Elle espérait bien qu'un jour, une de ces belles maisons lui appartiendrait. Elle trouverait bien un moyen d'avoir assez d'argent... Comme se trouver un homme riche, puis le laisser tombé. Un homme... Ou une femme, qu'importe ? Tout ce qu'il l'intéressait, c'était l'argent. Et quelques autres choses aussi...

Elle était maintenant arrivé aux trois quarts de la rue, là où la route formait une belle courbe douce. Il lui semblait même apercevoir, au loin, une silhouette humaine. Réajustant sa tenue et se recoiffant négligemment avec la main, elle continua d'avancer. Elle fit quelques mètres avant de pouvoir vraiment distinguer la personne. Elle n'avait pas rêver, il y avait bien quelqu'un, là-bas... Peut-être un résident ? Elle décida d'aller voir. Mais elle ne marcha pas vers l'inconnu(e) : elle poursuivit la route, s'attendant à ce qu'il (ou elle) la remarque...

Invité

Même s’il ne faisait pas aprtit de la communauté du quartier Sud, Chaze voulait connaître la ville un peu mieux avant de se rendre au poste de police. Ainsi, il pourrait impressionner le lieutenant général pour être certain d’avoir un bon poste dans l’action. C’est ainsi qu’il s’était retrouvé à arpenter les rues désertes et outrageusement provocantes dans le genre ‘quartier riche et chiant’ en regardant autour de lui à la rehcerh d’uen quelconque activité ou d’un moindre ssigne de vie. Mais rien ne venait. Il marchait depuis presque une heure, n’en finissant plus de voir les pavés luxueux, les allées de garage assez grands pour dix voitures, les immenses pallace dans lesquels vivaient des gens pourtant bien ordinaire, si ce n’était qu’ils avaient plus dA’rgent que la grande majorité des gens de Sheim. Chaze contournait un nouveau banc accompagné de fleur colorées lorsqu’il vit, plus loin, une silhouette marcher vers lui. Il plissa les yeux et sortit une main de la poche de son pantalon de toile beige pour la mettre en visière et mieux voir qui venait. Il faisait très élégant, habillé avec ses mocassins brun, son pantalon large et mince, sa chemise bleue ouverte sur son torse moulé dans une camisole blanche. Il continua de marcher, il s’approchait de plus en plus de la personne devant lui. Il fut bientôt à seulement quelques mètres et sourit à la jeune femme qui avançait vers lui. D’un coup d’oeil rapide, il remarqua sa tenue choisie avec soin, agencée à ses souliers. Il pu voir ausi son maquillage léger qui décorait ses yeux pour le smettre en valeur. À sa peau lisse et qui semblait soyeuse, Chaze ne lui donna pas plus de vingt ans. Il s’arrêta au milieu de la rue pour la regarder, elle ne semblait plus venir vers lui, mais bien suivre le trottoir, qui tournait à présent. Chaze jeta un coup d’oeil furtif à sa montre, il n’était pas tard. Peut-être pourrait-il demander son chemin à cette jeune femme. À cette apparence distinguée et quelque peu hautaine, n’était-il pas dans ses choix de dire qu’elle pouvait habiter ici. Même jeune, peut-être était-ce son père ou sa mère, ou même les deux, qui avaient une maison dans le quartier sud. Ou, alors, elle aussi voulait simplement venir regarder à quoi ressemblait la vie ailleurs que dans son quartier. Cette petite voix de sa conscience le fit arrêter le mouvement du bras qu’il s’apprêtait à faire pour qu’elle le remarque. Il fronça les sourcils et décida d’aller jusqu’au coin de la rue pour la rencontrer. Un peu directe comme approche, mais il voulait vraimetn sortir d’ici. Si elle n’habitait pas dans ce quartier sud, alors elle pourrait au moins lui indiquer le chemin d’où elle venait. Ainsi, il pourrait peut-être sortir.

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